Thomas aurait pu être votre frère, votre fils, votre neveu. Sa mort était évitable et doit servir à éviter d’autres victimes.
Après l’agression sauvage de Crépol qui a coûté la vie à cet adolescent de 16 ans, Thomas, dans la nuit du samedi 18 novembre au dimanche 19 novembre, l’Institut pour la justice a projeté le portrait de la victime dans la soirée de ce mercredi 22 novembre dans différents lieux de la capitale afin de lui rendre hommage et dénoncer le laxisme judiciaire.
Dans un communiqué de presse partagé plus tard, l’association, bien connue pour son combat pour les victimes de l’insécurité, affirme que « l’ensemble des Français sait que des causes systémiques ont mené au décès de Thomas, notamment un système judiciaire qui ne dissuade plus les délinquants et qui encourage la violence » et met en cause, également, le « danger mortel » causé par les flux migratoires.
Selon François Blumenroeder, responsable de la communication de l’IPJ, contacté par BV, de nombreux passants ont remercié l’association pour son action et ont eu des mots enthousiastes à leur égard. Un passant lui aurait fait un bras d’honneur en découvrant la projection.